Un grand nombre de techniques ostéopathiques et neuro-cutanées visent à stimuler les points trigger : les techniques de Dicke, Knap, Chapman, Goodheart, Vogler, Moneyron et autres, mais aussi l’acupuncture (points Ah-Shi).
La methode niromathe est unique : elle associe traction de la peau tout en stimulant ces points. C’est un peu comme les techniques de Janet Travel, qui combinaient des injections de xylocaïne sur ces points avec une traction musculaire. Avec Niromathé, pas d’injections, mais une vibration cutanée créée par l’application du geste correct : le mouvement Niromathé.
Tout se passe au niveau de la peau : pendant la formation de la lésion ostéopathique, les points cutanés et sous-cutanés sont « déprogrammés ».
Cet état peut durer des années. La réorganisation de ces points par des vibrations cutanées courtes, rapides et polarisées conduit par conséquent à la disparition des neuro-spasmes et lésions ostéopathiques sous-jacents.
Méthode Niromathé® : qu’est-ce que c’est ?
La méthode Niromathé® est une approche ostéopathique aux résultats rapides et efficaces. Entre 3 à 5 séances suffisent. Tout le travail se fait au niveau de la peau.
En même temps que la lésion ostéopathique, c’est-à-dire un spasme persistant des muscles, des capsules, du fascia ou des ligaments causant la douleur, la peau et les points sous-cutanés ne sont pas programmés. Cette condition peut durer des années.
La reprogrammation de ces points par un toucher vibratoire, superficiel et polarisé, apporte une disparition de la lésion ostéopathique sous-jacente (spasme).
L’information tactile de la stimulation cutanée retourne au cerveau, à travers le filtre réticulatum et est corticalisée (enregistrée). Le cerveau s’autorégule, ce qui entraîne la levée d’un spasme et la disparition de l’inflammation. Les avantages de la méthode niromathé® par rapport à l’ostéopathie conventionnelle :
- Elle est indolore (pas de « craquelures »)
- Elle est asymptomatique (pas de contre-indications ni d’effets secondaires).
- C’est rapide (3-5 traitements)
- Elle s’applique à toutes les lésions musculo-squelettiques et articulaires aiguës ou chroniques sans exception.
- Elle s’attaque à plusieurs troubles systémiques
- Elle s’adresse à tous les âges (du nouveau-né à l’aîné)
Méthode Niromathé : traitement
La méthode Niromathé couvre plusieurs maladies. Elle s’applique à toutes les lésions ostéopathiques de la tête aux pieds, des étourdissements aux maux de tête, de la périarthrite, de la tendinite, des éperons du talon à la raideur de la nuque, des lombalgies, de la cervico-brachiale, des sciatalgies, des troubles fonctionnels viscéraux et ceci du nourrisson à l’alité.
Méthode Niromathé : tout se passe au niveau de la peau
Avec la méthode Niromathé, on croit que « tout se passe au niveau de la peau ». Lorsqu’un traumatisme survient et qu’une lésion musculo-squelettique se forme, des points précis au niveau de la peau peuvent devenir » déprogrammés « . Des tensions ou des spasmes se produisent, bloquant les mouvements réguliers, affectant les fonctions viscérales et limitant la circulation sanguine et lymphatique. Cet état de tension peut durer des années.
La méthode Niromathé permet d’évaluer et de réorganiser les points clés le long de ces voies avec une vibration courte, rapide et polarisée au niveau de la peau. Cette approche conduit à la disparition de ces lésions ostéopathiques. À titre de comparaison, les acupuncteurs utilisent des aiguilles sur les points d’acupuncture pour obtenir les mêmes résultats.
La méthode Niromathé est la synthèse de quelques thérapies. La libération de ces points est obtenue par une vibration cutanée, tout en positionnant la peau du patient dans la position inconfortable.
Cette technique est rapide, relativement indolore, facile à recevoir, effets immédiats, sans contre-indications et extrêmement puissante.
30 % des cas sont corrigés immédiatement lorsqu’il n’y a pas d’inflammation.
30% des cas verront une amélioration totale après 3 jours en raison d’une légère inflammation.
30 % des cas verront une amélioration totale après 8 jours en raison d’une forte inflammation qui maintient la blessure « bloquée ». L’inflammation doit disparaître pour que les tissus guérissent.
Parfois, il faut 2 ou 3 traitements pour voir une amélioration totale, surtout pour les maladies chroniques.
10 à 20 % des cas ne répondent pas à la technique après 3 traitements. Habituellement, cela est dû à des conditions complexes, des microlésions dans les os ou les cartilages, des chirurgies multiples, l’utilisation de narcotiques.